MONTRÉAL – Le consulat général de la République d’Haïti a accepté d’être le parrain d’une activité littéraire qui s’est déroulée le 25 mars dernier à Montréal.
Il s’agit, en effet, de la vente-signature de deux ouvrages intitulés « En haute rumeur de siècles » et « Lettres à l’indigène ». Le premier est signé de l’écrivain Robert Berrouët-Oriol tandis que le second porte l’estampille de Joël des Rosiers, avions-nous appris à l’Agence de presse Médiamosaïque.
S’agissant du portrait de ces auteurs : Joël des Rosiers est un lauréat du Prix de la Société des écrivains canadiens. En 1999, il avait reçu le Prix du Festival international de poésie et le Grand Prix du livre de Montréal pour Vétiver, a informé le consulat dans son carton d’invitation.
On dit de lui qu’il est un «nomade, passionné d’architecture et de peinture contemporaines», Joël Des Rosiers a créé une œuvre considérée comme «l’une des plus importantes de la poésie en langue française des dix dernières années ([Jean-Jacques Thomas]», lit-on.
En ce qui a trait à Robert Berrouët-Oriol , on le présente comme un «linguiste, un spécialiste en aménagement linguistique et en communications institutionnelles. Poète et lecteur critique, pisteur de l’œuvre de l’écrivain Franketienne».
Avec «En haute rumeur des siècles», Robert Berrouët-Oriol offre son troisième livre de poésie, sa partition musicale «la plus aboutie et la plus exigeante», de conclure la biographie de l’auteur de la première étude théorique relative au concept exploratoire d’«écritures migrantes et métisses» au Québec.
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