Tournée nord-américaine 2009 d’Enrico Macias (AGENDA)

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Le mot retraite ne figure toujours pas à l’agenda d’Enrico Macias après 47 ans de carrière. À compter du 7 juin, le réputé chanteur entame une tournée nord-américaine, a appris l’Agence de presse «Média Mosaïque».

 

 

 

 

Ainsi, le vent méditerranéen qui personnalise toujours ses chansons va souffler sur plusieurs régions d’Amérique du Nord. Car des concerts sont prévus que ce soit au Canada ou aux États-Unis.

Itinéraires prévus

Le chanteur français d’origine algérienne va performer le 7 juin à New York, le 9 juin à Toronto, le 11 à Miami et le 14 à Los Angeles, selon les informations que nous avions obtenues.

Dans la métropole économique canadienne, à Toronto, où son concert est programmé pour le mardi 9 juin, Enrico Macias sera acclamé par ses fans et sympathisants au Danforth Music Hall Theatre.

Ce ne sera pas pour la première fois que l’artiste y jouera à plusieurs reprises. Et, pour cause, Enrico Macias n’a que des mots flatteurs pour cette ville cosmopolite où il a toujours performé à guichets fermés.

«Il y a une diversité extraordinaire qui me plaît beaucoup. C’est un endroit où ça vit et vibre tout à la fois», a-t-il confié dans une entrevue qu’il a accordée au journal francophone torontois «L’Express» dans sa dernière livraison reçue par courriel à l’Agence de presse «Média Mosaïque».

Anciennes chansons: un régal en Amérique du Nord

À noter que, même s’il dispose d’une discographie longue comme le bras (plus de 800 chansons), le chanteur reconnaît que ses anciennes chansons continuent de marquer l’imaginaire de bon nombre de ses fans en Amérique du Nord.

«Lorsque je vais à Québec, Toronto ou dans d’autres villes aux États-Unis, j’y retrouve bizarrement le public de mes premières chansons», a admis le chanteur qui entretient une relation privilégiée avec sa guitare.

À travers ses premiers succès, Enrico Macias fredonnait les airs «mélancoliques d’un pays, l’Algérie, qu’il a dû quitter précipitamment à cause de la guerre». Des chansons qui ont fait de lui dans les années 60 le porte-étendard de tous les expatriés de France et d’ailleurs, a rappelé le journal.