L’ex-star de l’info de TF1 réalise un documentaire sur les écrivains québécois. Le dit contenu pour lequel PPDA a effectué un séjour au Québec, sera diffusé sur la chaîne culturelle franco-allemande ARTE.
Patrick Poivre D’Arvor, qui a tout récemment réalisé le même exercice avec des écrivains haïtiens sur place en Haïti, s’est entretenu avec des noms bien connus de la poésie québécoise. Une littérature qui lui est d’ailleurs assez familière.
Car, dans le cadre de ses entrevues passées à la télévision, il confie avoir «rencontré» à plusieurs reprises, «lu», «apprécié» des auteurs québécois, entre autres, Gilles Courtemanche, Dany Laferrière, Jean-François Beauchemin.
Cette série sur la littérature mondiale lui permettra de lier connaissance, a-t-il dit, à des auteurs comme Nicolas Duclair, Marie-Sisi Labrèche, Jacques Godbout, Jacques Poulain, Christine Eddie à qui il a remis le prix France-Québec pour son ouvrage dénommé (Les carnets de Douglas, Alto) dans le cadre du Salon du livre de Québec qui s’est tenu du 15 au 19 avril 2009.
Le séjour du journaliste vedette, dont les propos sont rapportés par l’Agence de presse «Média Mosaïque» suite à une entrevue qu’il a accordée à la radio de Radio-Canada, n’a pas été long. Il en a profité pour faire une apparition à la version québécoise de l’émission télévisée de la chaîne du même nom «Tout le monde en parle», animée par Guy A. Lepage.
Rappelons que lors de son passage à Port-au-Prince pour réaliser le documentaire du même genre sur la lit térature haïtienne, Patrick Poivre-d’Arvor était accompagné de son frère Olivier, qui est un ancien haut responsable de la politique culturelle française.
Pendant près d’un quart de siècle, PPDA a présenté le journal télévisé de 20 heures le plus regardé de France sur TF1. Contre toute attente, les responsables du groupe (qui ont de très bonnes relations avec le chef actuel de l’Élysée) lui ont montré la voie de la sortie. Dans un ouvrage qu’il a publié après l’incident intitulé « À demain! », il estime avoir révélé les raisons qui sont à la base de son licenciement.
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